le silmarillion
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 les forces du mal

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felagund
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MessageSujet: les forces du mal   les forces du mal Icon_minitimeVen 13 Juil - 9:31

Morgoth est un personnage du Silmarillion créé par J.R.R. Tolkien. Son véritable nom, en langue valarine, est tabou ; il est appelé Melkor avant d'être rebaptisé Morgoth, « Noir Ennemi du Monde », par le Ñoldo Fëanor.
C'est le premier Seigneur des Ténèbres. À l'origine il était un des Valar ; nommé d'abord Melkor, il était plus puissant que Manwë. Morgoth est un nihiliste ; il veut détruire les Enfants d'Ilúvatar et tout dans Arda qui ne soit pas de sa propre réalisation. Il voulait régner sur Arda toute entière, refusant de prêter allégeance à Manwë. Il construit sa sombre forteresse d'Utumno dans le nord de la Terre du Milieu, à l'insu des Valar, et réduit à néant tout ce que les Valar projettent. Dès la Grande Musique, il corrompt des Maiar, comme Sauron, qui était à l'origine un suivant d'Aulë le forgeron, ou les Balrogs.
À deux reprises, une bataille eut lieu entre les armées des Valar et de Melkor, à l'issue desquelles Tulkas le bat. Les Elfes, premiers-nés, tout jeunes au moment de la deuxième bataille (la Guerre des Puissances) entendirent le vacarme de la bataille et en ressentirent les effets, sans savoir ce qu'il se passait. Melkor fut enchaîné et enfermé à Valinor pendant très longtemps. Plus tard, les Valar pensèrent qu'il avait changé et il fut relâché. Mais sa fourberie et son envie de régner et de détruire ce qu'il ne pouvait posséder ne fut qu'accrue par sa captivité. Il retourna dans un premier temps auprès des Valar pour diffuser ses idées perfides chez les Elfes de Valinor. Il enseigna beaucoup de son savoir aux elfes et en particulier à Fëanor qui devint le plus grand forgeron elfe d'Arda.
Ensuite, Fëanor conçut les Silmarils à partir de la lumière des Arbres de Valinor. Melkor, bien sûr, les convoita. Il conçut un plan avec Ungoliant. Il déroba les Silmarils et des trésors créés par Fëanor et les Noldor après avoir tué Finwë, le père de Fëanor qui gardait les Silmarils. Ensuite, il invita Ungoliant à boire la sève des Arbres de Valinor pour les détruire. Puis tous deux s'enfuirent en Terre du Milieu avec leur butin. Ungoliant, créature arachnéenne à l'appétit insatiable, dévora toutes les gemmes qu'ils avaient dérobées à Valinor puis voulut avaler les Silmarils. Melkor refusa de les lui donner et un combat les opposa. Melkor n'aurait pas gagné ce combat si ses Balrogs n'étaient pas intervenus pour l'aider.
À la suite du vol des Simarils, Melkor fut nommé initialement par Fëanor puis par tous les Elfes Morgoth (en sindarin ; Moringotto en quenya), le Noir Ennemi du monde.
Puis il se terra dans sa forteresse d'Angband, d'où il n'en sortit qu'une seule fois avant la fin du Premier Âge : pour un duel contre Fingolfin qu'il gagna, même s'il fut touché sept fois par l'Elfe avant qu'il ne le tue.
C'est de là qu'il créa (on ne sait pas exactement comment ; Tolkien n'arriva jamais à une thèse définitive sur ce point, se heurtant à des considérations religieuses et métaphysiques) la race des Orques ; selon la version publiée du Silmarillion, il s'agirait d'Elfes corrompus et torturés. Il créa aussi des Dragons, le premier et plus puissant d'entre eux étant Glaurung.
Durant tout le Premier Âge, Morgoth combattit les Elfes et leurs alliés (certains Nains et Humains) en Terre du Milieu grâce à ses armées d'Orques, à ses Dragons, et à ses Balrogs. Il réussit aussi à rallier à ses côtés une grande partie des Hommes et des Nains.
Le royaume de Morgoth crût en Terre du Milieu progressivement suite aux victoires qu'il remporta telles Nirnaeth Arnoediad, la destruction de Nargothrond ou la chute de Gondolin.
Enfin, le salut vint d'Eärendil, le fils de Tuor, fils de Huor, et d'Idril, la fille de Turgon le roi de Gondolin. Celui-ci construisit le bateau Vingilot pour atteindre Valinor où il demanda grâce, au nom des Enfants d'Ilúvatar, auprès des Valar. Manwë s'en émut et décida d'envoyer l'armée de Valinor pour vaincre définitivement Morgoth lors de la Guerre de la Grande Colère qui dura près de cinquante ans et se conclut par la chute de Morgoth et de ses armées.
Morgoth fut jeté hors des cercles du monde mais les graines de son pouvoir ne furent pas toutes détruites et le mal perdura sur Arda après lui, notamment par Sauron, les dragons et les Balrogs qui survécurent aux batailles.
La légende dit que cependant, Morgoth reviendra à la fin du monde : alors Manwë Sulimo descendra de son trône au sommet du Taniquetil pour l'affronter et le vaincre une dernière fois avant la sentence d'Eru, qui après le combat créera une nouvelle Musique des Ainur.



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MessageSujet: Re: les forces du mal   les forces du mal Icon_minitimeVen 13 Juil - 9:34

Dans l'œuvre de J.R.R. Tolkien, les Balrogs (sindarin pour « Démons de Puissance »), sont des monstres assez étonnants et difficiles à décrire, fait d'ombre et de flamme, visqueux, énormes, brandissant une épée de feu et un fouet à multiples lanières. Ils sont de la race divine des Maiar dont sont issus aussi Gandalf, Sauron et Melian.
Quand les Valar prirent la forteresse de Melkor, Utumno, les Balrogs, terrifiés, se réfugièrent dans les ruines d'Angband, d'où ils accoururent pour aider leur maître lorsque celui-ci fut attaqué par Ungoliant. Les Elfes rencontrèrent pour la première fois les Balrogs durant la Bataille sous les Étoiles (Dagor-nuin-Giliath), où Fëanor fut tué par Gothmog, Seigneur des Balrogs. Ils jouent ensuite un rôle majeur dans la suite du Premier Âge, par exemple durant la chute de Gondolin, à la suite de laquelle un Balrog fut tué par l'Elfe Glorfindel. Durant le Troisième Âge, les Nains réveillèrent un Balrog en minant le mithril de Khazad-dûm et furent ainsi chassés de ces mines. Ce Balrog fut tué par Gandalf durant la Guerre de l'Anneau.
Si, dans les premiers textes concernant la Terre du Milieu, les Balrogs semblent avoir été imaginés comme existant en grand nombre, Tolkien revint plus tard sur cette idée : dans les années 1950, il écrivit dans une note que le nombre de Balrogs à avoir existé n'excédait pas sept (Morgoth's Ring, p. 80). On peut cependant, d´après la lecture du Silmarillion penser que leur nombre était légèrement supérieur (une cinquantaine environ).
Les Balrogs sont un sujet de polémique récurrent chez les tolkiendili, en particulier l'existence ou non de leurs ailes, la description que fait Tolkien du Balrog de la Moria laissant planer l'ambiguïté.
Leur grand seigneur se nomme Gothmog. Il est le meurtrier de nombreux grands princes elfes : ainsi ce fut lui qui tua Feanor, le plus grand Elfe d´Arda, mais aussi Fingon son neveu et Echtelion qui le combattit et le tua avant de succomber à ses blessures.

« À cette époque, il [Morgoth] n'était pas seul, car sa grandeur avait attiré à lui de nombreux Maiar qui restèrent avec lui jusque dans les ténèbres, et d'autres qu'il avait pris à son service corruption, au mensonge, à des présents perfides. Les plus redoutables de ces esprits étaient les Valaraukar, les fléaux dévastateurs qu'on appelle sur la Terre du Milieu les Balrogs, les démons de la peur. » (Le Silmarillion)

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Liens extérieurs [modifier]


(en) La vérité sur les Balrogs
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Homonymie [modifier]



  • Balrog est un personnage imaginaire de la série de jeu vidéo Street Fighter, représentant un boxeur afro-américain. Néanmoins, dans les versions japonaises du jeu, Balrog est un assassin espagnol armé d'une griffe et portant un masque durant les combats pour qu'un mauvais coup ne vienne pas altérer sa beauté. Ce même combattant est appelé Vega dans les versions occidentales du jeu, ce qui peut prêter à confusion.


  • Dans le jeu de rôle des Terres de Légende, le Balrog était un monstre décrit dans le supplément Les Créatures de l'Ombre. Il s'agissait du monstre le plus puissant du jeu avec une classe de monstre de 25.




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MessageSujet: Re: les forces du mal   les forces du mal Icon_minitimeVen 13 Juil - 9:38

Les Dragons de la Terre du Milieu de J. R. R. Tolkien sont étroitement basés sur ceux des légendes européennes.




Sommaire

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Origines [modifier]


Les Dragons ont été créés à une date indéterminée du Premier Âge par Morgoth, le premier Seigneur des Ténèbres. Dire qu'ils ont été « créés » est un abus de langage : en effet, Morgoth, pas plus que les autres Valar, n'est capable de donner naissance à des créatures pensantes ayant leur propre volonté. Seul Ilúvatar le peut, comme le montre l'exemple de la naissance des Nains. En conséquence, les Dragons doivent être soit une corruption de créatures créées par Eru, comme les Orques, ou bien des Maiar qui se sont soumis à Morgoth, comme les Balrogs. Une note aux Annales d'Aman, datant vraisemblablement du début des années 1950, indique que Glaurung, le premier des Dragons, « doit être un démon [? contenu dans une forme de ver] »[1], ce qui est un argument en faveur de la seconde hypothèse (Tolkien emploie parfois le terme de « démon » pour désigner les Balrogs).
Glaurung fait sa première sortie en l'an 260 du Premier Âge mais, sa carapace étant encore incomplète, il est aisément repoussé par un groupe d'archers emmené par le Ñoldo Fingon.
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Caractéristiques [modifier]


Il existe plusieurs sortes de Dragons. L'aîné, Glaurung est un sorte de gigantesque lézard rampant et suintant, dépourvu d'ailes et crachant le feu. Il est le premier des Urulóki, les « dragons de feu ». À la fin du Premier Âge, acculé par les Valar, Morgoth lâche sur eux les premiers dragons ailés, dont le principal, Ancalagon le Noir, est d'une telle taille que sa chute détruit les trois sommets du Thangorodrim.
Au Troisième Âge sont mentionnés, dans les Montagnes Grises, des « dragons froids » (cold-drakes), qui s'en prennent aux Nains établis dans ces montagnes et les en chassent en 2589 T.A.[2]
D'autres noms de races de dragons sont donnés sans plus de précisions dans les Étymologies, un dictionnaire linguistique établi par Tolkien dans les années 1930 : rámalókë « dragon ailé », fëalókë « dragon-étincelle », lingwilókë « dragon-poisson » ou « serpent de mer »[3].
Tous ces Dragons partagent, entre autres traits de caractère, une forte avarice, une grande intelligence doublée d'une ruse mauvaise, une grande force ainsi qu'un pouvoir hypnotique. Ils sont très puissants et dangereux, quoique leur maturation soit lente. Le feu des Dragons est dévastateur, suffisamment pour avoir fait fondre quatre des sept Anneaux des Nains, mais pas assez pour détruire l'Anneau Unique.
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Représentants [modifier]


Tolkien ne nomme que quatre dragons dans toute son œuvre[4] :

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Notes et références [modifier]



  1. The War of the Jewels, p. 150
  2. Le Seigneur des Anneaux, Appendice A III
  3. The Lost Road, p. 370
  4. Nous excluons Chrysophylax, présent dans le bref conte Le Fermier Giles de Ham, qui n'est en rien rattaché à la Terre du Milieu.


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Voir aussi [modifier]


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Articles connexes [modifier]






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MessageSujet: Re: les forces du mal   les forces du mal Icon_minitimeVen 13 Juil - 9:42

Orque (Terre du Milieu)


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Dans l'œuvre de J. R. R. Tolkien, les Orques (Orcs, parfois Orks) sont une race de créatures au service de Morgoth, le premier Seigneur des Ténèbres, puis de son serviteur Sauron et de l'allié de ce dernier, Saroumane. Ils forment une race industrieuse et non dénuée d'intelligence, quoique toujours dépeinte comme misérable, détestant tout le monde, y compris eux-mêmes et leurs maîtres, qu'ils ne servent que par peur. Ils ne font pas de choses belles, et leurs plans ne visent qu'à blesser et à détruire.






Orc ou Ork est un terme vieil anglais qui apparaît dans le poème épique Beowulf, où il fait référence aux monstres morts-vivants de la race de Grendel (orc-néas "orc-corpses"). Tolkien traduit Orc en « démon »[1]. Il existe également une divinité romaine des enfers, parfois identifiée à Pluton, nommée Orcus.
Les Gobelins de Bilbo le Hobbit sont influencés, d'après Tolkien, par ceux du conte de George MacDonald The Princess and the Gobelin (1872).
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Termes désignant les Orques [modifier]


En quenya, le mot pour « orque » est urko, pl. urqui, signifiant « esprit maléfique », c'est-à-dire quelque chose d'effrayant. En sindarin, le terme est orch, pl. yrch, et le terme Glamhoth « horde bruyante » est aussi employé. En khuzdul, la langue des Nains, le mot est rukhs, pl. rakhâs[2]. Dans la langue des Drúedain, le mot est gorgûn.
Les termes Uruk et Uruk-hai, qui proviennent du noir parler, sont réservés à une race d'Orques particuliers, plus grands, plus forts, et à la peau noire.
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Orques, Gobelins et Uruks [modifier]


Les termes orque et gobelin sont synonymes. Dans l'avant-propos de Bilbo le Hobbit, Tolkien explique que orque est la forme hobbite du nom désignant ces créatures, terme que Tolkien lui-même a traduit par gobelin. Dans Le Seigneur des Anneaux, orque est utilisé presque systématiquement, le terme de gobelin étant, pour Tolkien, trop connoté dans les contes populaires. Il apparaît néanmoins à plusieurs reprises, et toujours comme synonyme de orque. Par exemple :





« Il y avait quatre soldats gobelins de plus grande stature, basanés, aux yeux obliques, avec des jambes épasses et de grandes mains. Ils étaient armés de courtes épées à large lame et non des cimeterres courbes habituels aux Orques ; et ils avaient des arcs d'if, semblable en longueur et en forme à ceux des Hommes. »
Le Seigneur des Anneaux, Livre III, chapitre 1
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Orthographe et traduction [modifier]


Dans ses écrits tardifs, Tolkien adopte l'orthographe Ork, principalement pour éviter de devoir utiliser l'adjectif Orcish (« orcien »), dont le c serait prononcé /s/ au lieu de /k/[3]. Il utilise à la place l'adjectif Orkish (« orkien »).
La traduction du terme en français pose problème, certains traducteurs choisissant d'adapter le terme en Orques là où d'autres conservent la forme originale Orc. Dans une de ses lettres[4], Tolkien utilise explicitement « des orques » comme traduction du terme sindarin yrch, mais quelques années plus tard, il écrit à son éditeur, au sujet de la traduction hollandaise du Seigneur des Anneaux, que « hobbit (et orc) appartiennent à ce monde, et ne doivent pas être modifiés [...] »[5]. Dans sa Nomenclature, un texte écrit à l'intention des traducteurs du Seigneur des Anneaux, il indique que Orc est un terme westron et devrait en conséquence « être traduit dans la langue de destination ».
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Apparence [modifier]


Les Orques sont des créatures humanoïdes laides et pourvues de crocs jaunâtres, généralement d'une taille inférieure à celle d'un homme. Beaucoup ont des jambes ou des bras tors, et leur sang est noir. Outre les mentions dans ses œuvres, Tolkien les décrit dans une de ses lettres :





« Ils sont (ou étaient) courts, larges, ont le nez plat, la peau jaunâtre, une grande bouche et les yeux bridés : en fait, des versions dégradées et repoussantes des moins agréables (pour les Européens) des types mongols. »
— Lettre n° 210 à Forrest J. Ackerman, juin 1958
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Types d'Orques [modifier]


De grandes différences existent entre les Orques. L'exemple le plus évident sont les Uruk-hai, plus forts, qui appelaient les Orques classiques snaga (« esclave »). En outre, Sauron semble avoir élevé des Orques spécialisés dans certains domaines, comme les soldats émérites Uruk-hai ou les « renifleurs » ou « traqueurs », plus petits et apparemment dotés d'un odorat surdéveloppé[6]. Les Uruk-hai de Saroumane ont un physique différent de celui des Uruks de Sauron : ils sont plus grands et de proportions plus humaines, tandis que les seconds sont petits et ont de longs bras, comme le montre la comparaison entre Uglúk et Grishnákh[7].
Saroumane semble avoir élevé ses propres Orques modifiés, en croisant des Orques avec des Hommes, probablement des Dunlendings, pour obtenir des « Hommes-orques » et des « Orques-hommes », ce qui est dit être « son acte le plus abject »[8]. Ces Semi-orques ressemblent beaucoup à des Hommes, mais au teint olivâtre et aux yeux louchants.
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Mœurs et culture [modifier]


La culture orquine est peu développée dans les ouvrages de Tolkien. Ils ont une certaine science de la guérison, visible par exemple dans les moqueries des Orques adressées à Merry, qu'ils ont capturé[9], un grand sens de l'honneur, ainsi qu'un sens de l'humour certain, quoique cruel, et ils aiment chanter : leur caractère est finalement très humain[10].
Ils mangent toutes sortes de viande, mais ne pratiquent toutefois pas le cannibalisme, qui semble être un acte considéré comme grave : lorsque Grishnákh accuse les Uruks de Saroumane de manger « de la chair d'Orques », de violentes vociférations lui répondent[11].
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La reproduction des Orques [modifier]


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